• Les témoignages et la presse : Dom artiste peintre

    Sud Ouest du 17 décembre 2009

    Les Beaux Arts et l'Art culinaire réunis.

    Dominique Baradat, dit DOM, est mérignacaise mais avec des origines espagnoles qui expliquent son penchant pour tout ce qui touche à la tauromachie. Elle expose actuellement (jusqu'au 28 février 2010) au restaurant "Le 48", face au stade du Jard, une partie de ses oeuvres, très axée sur le rouge.

    "Cela fait plus de 10 ans que je fais de la peinture, précise l'artiste. Je n'ai jamais pris de cours mais je suis une véritable passionnée. J'aime utiliser les couleurs, décliner les rouges et les bleus, favoriser les jaunes et l'or, travailler telle une brodeuse de haute couture l'élégance des costumes de fêtes avec des fils de peinture d'or et utiliser le couteau pour réaliser mes tableaux." DOM arrive du "Carroussel du Louvre" auquel elle a participé du 11 au 14 décembre et le 11 octobre, elle a obtenu le "prix coup de coeur du public" à l'exposition Brouillarta de Biarritz. "Nous voulons mettre l'Art dans le restaurant, explique les responsables du 48, afin de faire connaître le lieu. Et puis, nous avons des clients qui sont des peintres amateurs et qui apprécient les expositions. Une initiative qui plaît à tous et les toiles de DOM s'intègrent très bien au restaurant"


    Dimanche 11 Octobre 2009

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    BIARRITZ.

    Le Brouillarta entre les gouttes

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    Quand on a Brouillarta comme nom de baptême, pas étonnant qu'il soit parfois difficile de venir se focaliser sans essuyer les caprices du ciel, sur les oeuvres exposées dans les jardins de la Grande-Plage.

    Hier, ce sont les averses qui ont couché en début de matinée, les artistes et le public. Puis le ciel s'est dégagé et sur les 140 peintres, sculpteurs, aquarellistes, pastellistes, amateurs, professionnels et artisans d'art attendus, la majorité a répondu présent, à la joie des promeneurs. Cette manifestation originale se poursuit aujourd'hui non-stop jusqu'à 18 heures. Un jury décernera les prix de la ville de Biarritz dans chaque catégorie et le public sera appelé à voter pour ses favoris.

    Depuis 2006, le prix Ana Maria Sorozabal est attribué par les exposants eux-mêmes. photo jean-daniel chopinBisou

     

     

     

     


    Galerie REG'ART Bordeaux

     


    NOUVEAUTE !

    C'est toujours une grande joie de nouvelles rencontres, et j'ai le plaisir d'accueillir le travail de DOM à la Galerie Reg'art.
    Présente lors de nombreux évènements et manifestations  sur Bordeaux et la côte basque,  vous l'avez déjà peut être croisée cours du chapeau rouge le 1er dimanche de chaque mois, reconnu ses toiles dans un restaurant aquitain...
    Faisant halte à la Galerie, voici quelques clichés de ses oeuvres et ces quelques mots présentant son travail:

    Mes oeuvres sont le reflet de ma personnalité. J'aime travailler les couleurs et la matière en fonction des thèmes du Sud.
    Favorisant les jaunes et l'or, mais surtout les rouges, j'aime décliner les rouges et les bleus maintenant.
    J'affectionne tout particulièrement la technique de la peinture au couteau, mélangeant très souvent des peintures acryliques au liant , ce qui me permet de mieux sérier les nuances et de satisfaire mon goût prononcé pour la matière, la masse, le contact charnel.
    Il m'arrive encore aujourd'hui  de peindre directement avec les tubes!
    En parallèle, j'aime travailler l'élégance des costumes de fêtes telle une couturière ou une brodeuse de haute couture avec minutie, avec des fils de peinture d'or...


    Sud Ouest Vendredi 17 Avril 2009

    Dom expose à Color'I

    Dom et l'une de ses oeuvres. (photo M. G.)
        Dom et l'une de ses oeuvres. (photo M. G.)

    Dominique Baradat, dite Dom, est Mérignacaise. Mais elle a des origines espagnoles qui expliquent certainement sa passion pour la tauromachie.

    Elle expose à Color'I, jusqu'au 30 avril, une série de toiles avec des couleurs fortes, très axées sur le rouge. « Je fais de la peinture depuis dix ans sans avoir jamais pris de cours. En fait, tout est parti d'un pari avec un membre de la famille. Il avait acheté un tableau sur la tauromachie, je lui ai dit que j'étais capable de faire la même chose, il m'a mise au défi et je l'ai relevé. »

    « J'aime bien travailler les couleurs et la matière en fonction des thèmes du Sud, décliner les rouges et les bleus, favoriser les jaunes et l'or, peindre directement avec les tubes à même la toile, travailler telle une brodeuse de haute couture l'élégance des costumes de fête avec des fils de peinture d'or, utiliser le couteau pour réaliser mes tableaux. »

    Dom a déjà participé à plusieurs expositions au Grand Palais (novembre 2008) au le Carrousel du Louvre (décembre 2008)...

    « Je lis beaucoup, passe du temps à la peinture mais je n'ai pas envie de prendre de cours pour l'instant, avoue l'artiste. Je préfère rester amatrice et faire partager ma passion aux autres. »




    sud Ouest Lundi 04 Mai 2009

    MARGAUX.
    D'or et de sang

    L'artiste devant une de ses toiles « cincos de la tarde ». (photo l. l.c.)
        L'artiste devant une de ses toiles « cincos de la tarde ». (photo l. l.c.)

    En ce moment, les toiles de Dominique Baradat sont exposées au Relais de Margaux. L'artiste ne se prévaut pas de diplôme des beaux- arts, elle exerce la profession d'ergonome, la peinture est son hobby. Ce qui ne veut pas dire absence de talent, elle est notamment l'un des 20 lauréats du concours Boesner 2008, auquel ont participé un millier d'artistes.

    Cela lui a permis d'exposer au Grand Palais et au Carrousel du Louvre à Paris en novembre et décembre 2008, sous l'égide de la Société nationale des beaux-arts. Elle puise son inspiration dans ses racines castillanes, principalement aux « courses de taureaux ».

    Son oeuvre exprime la tragédie, où la vie et la mort de l'animal ainsi que l'élégance du torero sont mises en scène sans jamais choquer. Sa peinture respecte nos émotions et les exacerbe au point qu'en les contemplant, j'ai entendu résonner les trompettes qui saluent l'entrée du taureau dans l'arène.

    Dominique Baradat a une technique particulière qu'elle explique : « je travaille les couleurs, le rouge, le jaune, l'or et le bleu en fonction des thèmes du Sud. Je peins directement avec les tubes à même la toile pour donner du liant et satisfaire mon goût pour la matière et le contact charnel. Je compare mon travail à celui d'une brodeuse de haute couture, comme elle je rehausse l'élégance des costumes avec des fils de peinture d'or. »

    Une vingtaine de ses toiles sont visibles jusqu'au début du mois de juillet, à la brasserie et au Spa du Relais de Margaux. Toute l'actualité artistique de Dominique Baradat est sur son site Internet : www.b-dom.com
    Auteur : Louis Le Cor

     

    Su du 9/04/09
    DOM expose à Color’I : une exposition haute en couleurs pour cette mérignacaise

    p1070467.JPGDominique Baradat, dit DOM, est mérignacaise depuis toute petite, mais elle a des origines espagnoles qui expliquent certainement sa passion pour tout ce qui touche à la tauromachie. Elle expose à Color’I jusqu’au 30 avril, une série de toiles avec des couleurs fortes, très axées sur le rouge. “Je fais de la peinture depuis 10 ans sans avoir jamais pris de cours. En fait, tout est parti d’un pari avec un membre de la famille. Il avait acheté un tableau sur la tauromachie, je lui ai dit que j’étais capable de faire la même chose, il m’a mise au défi et je l’ai relevé. J’aime bien travailler les couleurs et la matière en fonction des thèmes du Sud, décliner les rouges et les bleus, favoriser les jaunes et l’or, peindre directement avec les tubes à même la toile, donner du liant pour mieux sérier les nuances, travailler telle une brodeuse de haute couture l’élégance des costumes de fête avec des fils de peinture d’or, utiliser le couteau pour réaliser mes tableaux.” DOM a déjà participé à plusieurs expositions : Le Grand Palais (novembre 2008), le Carrousel du Louvre (décembre 2008), Espace Commines (juin 2008), Plaza Del Arte (septembre 2006, 2007 et 2008) et divers restaurants de la région. “Je lis beaucoup, passe du temps à la peinture mais je n’ai pas envie de prendre de cours pour l’instant, avoue l’artiste. Je préfère rester amateur et faire partager ma passion aux autres.” Une exposition visible jusqu’au 30 avril chez Color’I, 43 avenue JF Kennedy à Mérignac. A partir du 1er mai, l’artiste exposera au Relais de Margaux.


    15 juillet 2010

    Cow Parade à Bordeaux

    Depuis le 7 juin, parcourir Bordeaux revient à un jeu de piste surréaliste qui vous fait tomber, à chaque coin de rue, « nez à mufle » avec un étrange troupeau de ruminants. Pas question ici de Blonde d’Aquitaine, de Charolaise ou de Normande, mais plutôt de Mademoiselle Marguerite de Tourny, La Christolyna, Diva, Bacchus Cow, Colaroïd… et j’en passe puisque le troupeau compte cinquante-huit individus exposés en différents endroits de la ville, dans les rues, sur les places, dans les parcs et les jardins, le long des quais… Vous l’aurez compris, la Cow Parade qui a vu le jour en 1998 à Zurich est installée cet été à Bordeaux. Depuis sa création, cette manifestation s’est déroulée dans différentes capitales ou de grandes villes de monde : Chicago, New York, Houston, Sidney, Londres, Buenos Aires, Athènes… Ici, elle a été baptisée « Bordeaux and Cow ».
    Le principe de la Cow Parade est le suivant : des vaches en taille réelle sont fabriquées en fibre de verre. A l’origine complètement blanche, chacune est achetée par un mécène (une entreprise, un château, une banque…) qui la confie à un artiste (peintre, graphiste, designer, photographe ou sculpteur…). Celui-ci va alors décorer et transformer la vache en une œuvre unique. L’artiste est complètement libre dans sa démarche créative, il est interdit de faire figurer la marque du propriétaire (logo, nom, pub) sur la vache.
    Dans chaque pays et dans chaque ville les artistes sont différents. Une Cow Parade ne ressemble à aucune autre.
    Le troupeau est ensuite lâché dans les différents points de la ville où les promeneurs peuvent les admirer jusqu’au 14 septembre. Le jeu consiste à les retrouver toutes. Pour faciliter les choses, un plan de leur localisation est à la disposition du public.
    A la fin de l’été pas de dénouement tragique dans un quelconque abattoir, après avoir regagné l’atelier de leur concepteur pour d’ultimes retouches de beauté, les vaches seront vendues aux enchères et les fonds récoltés iront à la Banque alimentaire de la Gironde. Je me suis laissé dire que, parfois, ce sont les entreprises propriétaires qui, ne pouvant se résoudre à leur départ, les rachètent !
    Il me reste encore pas mal de rues à arpenter, car, cet après midi, je n’ai retrouvé que vingt ruminants avant que mes pieds ne déclarent forfaits et que, pour couronner le tout, un accident ayant affecté la circulation du tram, je sois obligée de rentrer à pied… La vache ! comme disent les djeunes !






  • Commentaires

    1
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